Pages

lundi 30 juin 2008

Shut up Mademoiselle !

Baphéa vient de m'envoyer les 3 premières planches crayonnées de notre BD "Pour ce que tu hais..."(titre encore fluctuant). Ça commence à prendre forme pour de vrai, c'est génial ^^

Pour lire, il faut cliquer :

Merci Baph pour ta patience ;-)

vendredi 27 juin 2008

Mission monstre !

Ce petit monstre avec une gueule d'amour et quelques cicatrices devrait être le héros d'une petite BD que nous proposerons à Carabas pour sa collection "Les petits chats carrés" qui vise le tout jeune public. De l'amitié, de l'amour, de l'action, du suspense mais pas de dialogue, tel sera notre défi. Même pas peur ^^

Et puis un petit crayonné de son mini pote, parce qu'il est craquant :
Argh, pour un peu j'oubliais ! Vous aurez reconnu la superbité du coup de crayon du grand K3vin... Merci à toi :-)

mercredi 25 juin 2008

Ralentissez, svp :-)

Il s'agit d'un projet qui cherche son illustrateur. Cependant la mission est cette fois un peu particulière : très dirigée et donc peut-être pas très marrante... Mais je vous laisse juger :

Quand les enfants s'ennuient...

Il s'agit de jouer de variations autour de ce panneau de signalisation :



Quand l’école est finie,
Le mercredi ou le samedi,
Que font les enfants ?
On part du panneau simple.

Quand les enfants s’ennuient,
Ils comptent les voitures grises,
Et imitent les passants.
Le panneau s’anime. L’un des enfants montre quelque chose hors de la case.

Quand les enfants s’ennuient,
Ils inventent des acrobaties,
Pour devenir des géants.
Les enfants montent sur les épaules l’un de l’autre.

Quand les enfants s’ennuient,
Ils se font capitaine de navire,
Pour traverser les océans.
L’un des enfants, sur la pointe du triangle, semble scruter l’horizon.

Quand les enfants s’ennuient,
Ils improvisent des collines,
Qui deviennent des toboggans.
L’enfant glisse le long du panneau.

Quand les enfants s’ennuient,
Ils peuvent faire de la magie,
Un jeu qui marche par tous les temps.
Retour dans la case. Le garçon fait un lapin en ombre chinoise.

Quand les enfants s’ennuient…
Mais qui dit que les enfants s’ennuient ?
S’ennuyer, c’est juste un truc de grands.
Retour à la première image, mais dans un coin du panneau, il reste le petit lapin que le garçon a fait « apparaître » à la page précédente.

Vos avis, comme toujours, sont les bienvenutissimi :-)

Houlala, attention les yeux !

Une centaine d'illustrateurs géniaux d'un seul coup... Vous êtes prêts ? Alors c'est ici.

C'est beau, hein ?

lundi 23 juin 2008

Ali légèrement modifié...

Voici une V2 du projet "Ali au pays des cochons". Les corrections sont en violet. N'hésitez pas à me dire si une tournure ou une expression vous gêne, c'est ainsi que je peux l'améliorer... Merci d'avance donc.

Ali au pays des cochons

Ali est un mouton,
Un mouton au pays des cochons,

Et ça le rend très malheureux…
Pourquoi ? Hé bien parce que :

Les moutons détestent les cochons.
Et les cochons détestent les moutons.

Ça a toujours été ainsi,
Et ça complique drôlement la vie,
En tout cas la vie d’Ali.

Il y avait Berengère,
La belle boulangère,
Qui prenait de grands airs.

Et puis Edouard,
Le gardien du square,
Qui faisait mine de ne pas le voir.

Et encore Zoé,
La petite d’à côté,
Qui semblait toujours se moquer.

Et c’était
Sans compter :

Didier le carrossier
Baptiste le fleuriste.
Théodore le matador,
Bernadette la gendarmette,
Ivanhoé le kiné,
Justin le musicien,
Charlotte la pilote,
Jérôme l’économe
Bastien le technicien
Et Hervé le jockey.

Mais le pire du pire était Martin
Qui justement était son voisin.

Du matin jusqu’au soir :
Ils se lançaient des regards

Qui disaient « tête de lard »,
Ou « vieux tricot ringard ».

Et du soir jusqu’au matin,
Il s’observaient en coin,

En pensant « Mais quel sale groin »,
Ou « Va te faire défrisoter le crin ».

Mais on ne peut pas s’épier
Et regarder ses pieds.

Alors un jour que Martin
En allant chercher son pain,

Zieutait d’un air mauvais,
Son voisin qui le suivait,

Les choses patacrakèrent,
Et il se retrouva
La tête en bas
Les quatre pattes en l’air.

La petite Zoé
Se mit à rigoler,

Le vieil Edouard,
Fit mine de ne rien voir,

Et c’est Ali son voisin
Qui lui tendit la main.

Il fut un instant,
Un peu étonné,
Mais aussi bien content
De pouvoir se relever.

Aussi,
À la boulangerie,
il ne fut pas très fier,
Quand il vit Berengère,

Refuser le dernier pain à Ali,
Pour le lui réserver, à lui…

Il dit que ce matin,
Il n’avait pas très faim,
Et qu’il y aurait peut-être moyen,
De partager en deux le pain.

Berengère la boulangère
Prit bien un drôle d’air,
Mais elle coupa les deux morceaux,
Puisque après tout, c’était son boulot.

Au moment de rentrer,
Ali pour le remercier,
Invita son voisin à venir boire le thé.

Ils ont alors
Parlé, parlé,
Parlé encore
Et encore parlé.

Et ils se sont rendu compte
Qu’avant d’être un cochon
Qu’avant d’être un mouton

Ils étaient tous deux les parents
D’enfants devenus grands.

Ils avaient tous deux connu la paix
Auprès d’une femme qu’ils aimaient.

Ils avaient tous deux consolé,
Des amis aujourd’hui éloignés.

Ils s’aperçurent aussi
Qu’ils adoraient rire,

Cueillir les champignons,
Et chanter des chansons.

Bon, pas les mêmes chansons…
Mais on s’en fiche un peu, non ?

Car c’est depuis, dit-on,
Qu’est née la célèbre expression :
Copains comme cochon
Et mouton.


C'est mieux, non ?

Un petit mot magique d'Anne Sylvestre pour bien commencer la semaine :-)


Il s'agit d'un album où chaque chanson est construite autour d'un mot du quotidien. L'enfant doit deviner lequel avec des définitions tour à tour drôles, poétiques, légères, douces ou graves... Un petit exemple donc :

C’est comme un soleil
Qui enlève son chapeau,
C’est comme un réveil
Qui ne sonne pas trop tôt,
Comme un coq doré
Qui pousse un cocorico,
Comme un chat tigré
Qui s’étire tout le dos…

C’est un mot… c’est un mot…

C’est comme un sourire,
C’est comme un ciel vraiment bleu,
C’est facile à dire,
Ça aide à ouvrir les yeux,
C’est vraiment tout bête,
Et les matins où il pleut
Ça met dans la tête
Un petit rayon joyeux…

C’est si peu… c’est si peu…

C’est bonjour, c’est bonjour,
Carillonne et fait des tours,
C’est bonjour, c’est bonjour
Qui nous fait un plus beau jour,

C’est bonjour, c’est bonjour,
Qui fait patte de velours,
Sans trompette ni tambour,
C’est bonjour !


Nota : c'est cité de mémoire, et même si Anne Sylvestre c'est pour moi de la mémoire fossile à présent, il y a forcément des approximations... La ponctuation notamment.

vendredi 20 juin 2008

L'épouvantail, la suite !

Crotte de moineau, ce que c'est beau ! Merci beaucoup Lydie, tes illus sont vraiment superbes ^^

Personnellement, je crois que je préférais le 1er épouvantail, avec son petit sourire triste... Je trouve qu'il faisait moins humain et davantage poupée :


Mais c'est vrai que le n°2 a de l'allure avec son chouette chapeau... Je ne sais pas :-/

Vous avez un avis ?

Nouvelles du front...

Aujourd'hui jour J : il y a tout juste 30 jours, nous nous lancions dans l'aventure "Être édité en un mois"... Objectifs atteints avec Ezra. Mission en cours avec Lydie. Piétinage temporaire avec Gwenaëlle ... C'est que voilà trois jours que nous nous battons contre PDF... La lutte est inégale, car l'ennemi a été soutenu dans sa rébellion par les traîtres Photoshop et Word. Nous craignions en outre que Mac se range sous peu de leur côté.

Nous vous tiendrons au courant de nos avancées...


mercredi 18 juin 2008

Ça sent la fin !

Le dossier pour le projet "Coccinelle" avec Gwenaëlle se termine !

Voilou la couverture :

Et le chemin de fer :

Maintenant yapuka trouver un éditeur capable de reconnaître notre génie... Fastouche ^^

mardi 17 juin 2008

Attention, histoire cochonne !

On part sur un nouveau projet avec Gwenaëlle, et j'aimerais bien de nouveau avoir votre avis. Il s'agissait de trouver un contexte à cette super image :


(Bon il y aura une petite modif à faire... Je vous laisse deviner laquelle ;-)


Voici donc une "1ère-version-retravaillée" du texte :

Ali au pays des cochons

Ali est un mouton,
Un mouton au pays des cochons,

Et ça le rend très malheureux…
Pourquoi ? Hé bien parce que :

Les moutons détestent les cochons.
Et les cochons détestent les moutons.

Ça a toujours été ainsi,
Et ça complique drôlement la vie,
En tout cas la vie d’Ali.

Il y avait Berengère,
La belle boulangère,
Qui prenait de grands airs.

Et puis Edouard,
Le gardien du square,
Qui faisait mine de ne pas le voir.

Et encore Zoé,
La petite d’à côté,
Qui semblait toujours se moquer.

Et c’était
Sans compter :

Didier le carrossier
Baptiste le fleuriste.
Théodore le matador,
Bernadette la gendarmette,
Ivanhoé le kiné,
Justin le musicien,
Charlotte la pilote,
Jérôme l’économe
Bastien le technicien
Et Hervé le jockey.

Mais le pire du pire était Martin
Qui justement était son voisin.

Du matin jusqu’au soir :
Ils se lançaient des regards

Qui disaient « tête de lard »,
Ou « tricot à quatre pattes ».

Et du soir jusqu’au matin,
Il s’observaient en coin,

En pensant « Mais quel sale groin »,
Ou « Va te faire défriser le crin ».

Et puis un dimanche,
Les choses patacrakèrent,
Quand Martin par malchance,
Tomba les fesses par terre.

La petite Zoé
Se mit à rigoler,

Le vieil Edouard,
Fit mine de ne rien voir,

Et c’est Ali son voisin
Qui lui tendit la main.

Il fut un instant,
Un peu étonné,
Mais aussi bien content
De pouvoir se relever.

Aussi,
À la boulangerie,
il ne fut pas très fier,
Quand il vit Berengère,

Refuser le dernier pain à Ali,
Pour le lui réserver, à lui…

Il dit que ce matin,
Il n’avait pas très faim,
Et qu’il y aurait peut-être moyen,
De partager en deux le pain.

Berengère la boulangère
Prit bien un drôle d’air,
Mais elle coupa les deux morceaux,
Puisque c’était son boulot.

Au moment de rentrer,
Ali pour le remercier,
Invita son voisin à venir boire le thé.

Ils ont alors
Parlé, parlé,
Parlé encore
Et encore parlé.

Et ils se sont rendu compte
Qu’avant d’être un cochon
Qu’avant d’être un mouton

Ils étaient tous deux les parents
D’enfants devenus grands.

Ils avaient tous deux connu la paix
Auprès d’une femme qu’ils aimaient.

Ils avaient tous deux rigolé
Avec des amis aujourd’hui éloignés.

Ils s’aperçurent aussi
Qu’ils adoraient rire,

Cueillir les champignons,
Et chanter des chansons.

Bon, pas les mêmes chansons…
Mais on s’en fiche un peu, non ?

Car c’est depui, dit-on,
Qu’est née la célèbre expression :
Copains comme cochon
Et mouton.

lundi 16 juin 2008

Elsa avance à grands pas !

La petite fille qui voyage toutes les nuits sur la Lune en compagnie de son chat, devrait bientôt être prête à amorcer son crochet en direction des maisons d'édition ^^


Ezra fait en effet les derniers ajustements couleur et lumière avant de boucler le dossier. Je vous invite à aller voir l'évolution du projet sur son blog : e-rêveurs.

Je remets aussi le texte parce qu'il est parti loin loin loin...

Le Chat d’Elsa

Elsa est une toute petite fille,
Seule dans une grande maison vide.

Enfin ça, c’est ce que tout le monde croit…
Parce qu’en réalité, Elsa a un chat.

Ho, ce n’est pas un chat secret !
Quand il est arrivé, Elsa l’a annoncé.

Elle a dit : « Papa, maman,
Je vous présente Armand.

C’est un grand chat,
Mais ne vous inquiétez pas

Il est très propre, très gentil,
Et il rentre sur la lune toutes les nuits. »

Papa a dit « Quelle imagination extraordinaire…»
Maman a ajouté « Va pour un chat imaginaire

Comme animal domestique
C’est ce qu’on fait de plus pratique :

Pour les vacances, pas de souci,
Et aucun risque d’allergie. »

Du coup, voilà,
Depuis, Elsa a un chat.

Ensemble, ils se lèvent le matin.
Ensemble, ils jouent dans le jardin.
Ensemble, ils habillent les poupées.
Ensemble, ils vont se coucher.

Pourtant, c’est étrange,
Souvent ses parents,
Oublient sa présence.

Papa dit « Les chats imaginaires, ça n’existe pas ! »
Maman dit « Ho Elsa, ça suffit comme ça…

On en a marre
De tes histoires ! »


Mais pourtant,
C’est évident
Qu’Armand
Existe vraiment !

Sinon, qui aurait vidé le pot de confiture ?
Sinon, qui aurait découpé la couverture ?
Sinon, qui aurait décoré le livre de papa ?
Sinon, qui aurait laissé toutes ces traces de pas ?

Mais non, allez savoir pourquoi,
À chaque fois, ils accusent Elsa !
Remarquez, ça ne la dérange pas plus que ça…

Ensemble, ils sont tellement heureux,
Que ça vaut bien une punition ou deux.

Et puis, c’est un peu pareil pour lui,
Quand toutes les nuits,

Elsa l’accompagne sur la lune,
Pour jouer dans les dunes.

Papa chat dit « Les petites filles imaginaires, ça n’existe pas ! »
Maman chat dit « Ho Armand, ça suffit comme ça …

On en a marre
De tes histoires ! »

Alors pour se consoler,
Ils se font des tartines de confiture de lait,

Trempées dans du sirop d’étoile,
C’est excellent pour le moral.

samedi 14 juin 2008

Et c'est alors qu'arriva la sauterelle...

Et voilà fraîchement terminée la 4e page des aventures de nos bestioles :


Gwenaëlle vient d'ouvrir un blog "Turlututu chapeau pointu" où vous trouverez le récapitulatif des quatre premières pages, ainsi que des images tout à fait émouvantes où l'on voit les bébéstioles en train de naître, au fil de la plume ou sur les ailes d'un Moleskine... Promis, c'est beau ^^

Enfin, je voulais de nouveau faire appel à vos zavis zéclairés (vous le dites, hein, quand j'abuse ^^) ... Cela concerne le titre. On avait pensé à un truc du genre :

L'histoire de
la coccinelle qui voyait rouge
et de
l'abeille qui riait jaune.


Et puis on s'est dit qu'on pourrait essayer de pousser le bouchon un peu plus loin :

Proposition bis : L'histoire haute en couleur de la coccinelle qui voyait rouge et de l'abeille qui riait jaune.

Proposition ter : L'histoire de la coccinelle qui voyait rouge, de l'abeille qui riait jaune et de leurs amis qui en firent voir de toutes les couleurs à ce pauvre hibou.

Zzzz'en pensez quoi ?

jeudi 12 juin 2008

Chouette, une copine !

Un petit mot rapide pour vous signaler que ma copine Lilie vient d'ouvrir son blog, et qu'elle y a déposé un joli texte qui cherche son illustrateur : l'histoire d'un petit garçon qui va devoir arrêter de zozoter...
Avis zaux zamateurs !

Votre avis m'intéresse :-)

Bonjour-bonjour !

Je voulais vous faire part du tout dernier texte que j'ai écrit... Je ne cherche pas d'illustrateur pour l'instant (je voudrais le laisser décanter avant) mais j'aimerais bien que vous me donniez votre avis, voir si l'idée vous plaît... Si une formulation vous dérange, idem, j'aimerais bien que vous me le disiez.

Merci d'avance !

La princesse qui aimait les fées (V2)

Il était une fois, une princesse jolie,
Qui était en âge de chercher un mari.

Son père alors ordonna,
Ce que tout roi ordonne dans ce cas là :

D’organiser un grand bal où se présenteraient
Tous les possibles, probables et potentiels fiancés.

Les princes d’à côté
Arrivèrent les premiers.

Un à Un
Ils embrassèrent sa main.

Il y en avait :

Des maigrelets
Qui pouvaient s’envoler

Et des costauds
Avec de gros biscotos.

Il y avait aussi :

Des tout petits
Aux yeux de souris

Et des très grands
Aux oreilles d’éléphants.

Il y avait parmi eux :

Des courageux
Qui étaient plein de bleus

Et des prudents
Qui allaient à pas lents.

Mais non
Vraiment
Merci bien
Ils ne lui disaient rien.

On vit alors arriver
Les princes étrangers.

Un à Un
Ils embrassèrent sa main.

Il y en avait :

Des blancs comme le lait
Et blonds comme les blés

Et d’autres dont la peau noire
Brillait dans l’air du soir.

Il y en avait encore :

Aux habits multicolores
En rouge, en bleu, en vert, en or

Et puis des élégants
Entièrement en noir et blanc.

Il y avait enfin :

Des descendants de marins
Qui regardaient au loin

Et des hommes des alpages,
Ces gardiens de nuages.

Mais non
Vraiment
Merci bien
Ils ne lui disaient rien.

Inutile de préciser
Que le roi commençait
Sérieusement à s’énerver !

Une fée alors vint à passer…

Absolument charmante
Sur un beau cheval blanc.

En une seconde, la princesse sut que c’était elle.
En deux secondes, elle montait derrière la selle.
En trois secondes, elles galopaient sous le grand ciel.

Bon, elles ne purent pas se marier,
Et pour faire des bébés,
Ce fut un peu plus compliqué.

Mais toutes les deux,
Elles vécurent très heureuses,

Et c’est ainsi que doit s’achever
Tout véritable conte de fée.



mercredi 11 juin 2008

L'épopée de Zébulon...

Zébulon, vous vous souvenez ? C'est le petit bonhomme (/zèbre /putois /hérisson) qui a perdu son ballon... Amandine devait l'illustrer mais les contraintes narratives la dérangeaient et c'est du coup Olivier Philipponneau, graveur de talent, qui a repris le flambeau. Il m'a promis les premières gravures pour le mois d'août :-)

En attendant, j'aimerais bien tout de même présenter quelques-unes des images de Léa Walter, instit en IME, qui avait entrepris de donner un visage à Zébulon pour travailler dessus avec ses élèves. Ce n'est donc pas la version "officielle" de Zébulon, mais je les trouve quand même drôlement mignonnes ces images, et ce serait dommage de ne pas les partager !


Pour contacter Léa, c'est par là : mecresse@free.fr.

Encore merci ^^

mardi 10 juin 2008

L'épouvantail est arrivé !

Et voili-voilou une première image de Lydie Sabourin pour le projet L'épouvantail :


Je suis trop contente ! C'est exactement ce que je voulais, mais en beaucoup mieux ^^

Je remets le texte parce qu'il est un peu loin :

L’épouvantail


Le temps d’un été,
J’ai été blé doré.

Des mains m’ont moissonné : je suis devenu paille.
D’autres m’ont tressé : je fus épouvantail.

Épouvantail, quel drôle de métier !

Effrayer le petit moineau,
Éloigner le noir corbeau,
Faire fuir le merle rieur,
Chasser le rossignol chanteur.

Et surtout, surtout, rester planté,
À regarder les autres s’envoler.

Coupé !

Wacom forever :-)

J'ai reçu hier ma tablette graphique de fête des mères !! C'est que vous me faisiez envie avec vos jolies images... Voici donc mon premier dessin assisté par ordinateur :
Amis illustrateurs, je sens que notre collaboration va être loooooooooooooooongue ;-)

En revanche ma Poucinette n°3 est très douée :

On dirait du Pollock, non ?

dimanche 8 juin 2008

Voici Mademoiselle...

Par Baphéa, le crayonné de la 1ère planche du projet "Pour ce que tu hais..." BD-thriller :
Remarques et suggestions sont les bienvenues. Et très bientôt, on vous présente Monsieur...

vendredi 6 juin 2008

Bzzzz again !

Aujourd’hui, Gwenaëlle m’a super gâtée :-)

Déjà, j’ai eu une chouette photo de groupe :
Et puis plein plein d’essais de mise en page :



On attend vos avis... Merci ^^

jeudi 5 juin 2008

Bzzzelle journée à tous :-)

Merci beaucoup pour vos petits mots... Y a pas à dire, ça fait drôlement du bien au moral ^^

Pour aujourd'hui, voici une première image par Gwenaëlle de la bande d'insectes enquiquineurs :

Figurez-vous que cette folle,
Préférait les tournesols !

Elle fabriquait du miel doré,
Goût « jonquille » au printemps, goût « bouton d’or » l’été.

mercredi 4 juin 2008

Et voilà Leïla !

Pour aujourd'hui, quelques croquis envoyés par K3vin pour un projet BD sur lequel nous sommes en train de travailler :



Le gros pas beau du milieu, c'est Gaspard. Celui à côté qui a l'air crétin, c'est son copain. Et la petite mimi sur la droite, c'est Leïla.

Promis, je vous raconte rapidement leurs aventures :-)

lundi 2 juin 2008

Allez, je fais ma crâneuse ^^

Christine Bellier, comédienne, m'a proposé de lire quelques uns de mes textes dans le cadre des lectures publiques qu'elle fait à la bibliothèque de Vineuil St-Firmin (L'Oise) tous les premiers samedis du mois. Ce sera donc pour... samedi prochain !

Christine Bellier
(CV & démo)


Tout plein de mercis :-)