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vendredi 19 juin 2009

Adieu Marilyn !

Ten Marilyns, Andy Warhol, 1967

Ras les couettes de la blondasse introuvable : rien au Grand Palais, rien à la RMN, rien au CRDP, rien à l'ESBA, ni au MGTEIYVRKGDK ou au UHLJOIGIGU d'ailleurs. Bref, y en marre, crotte de canard, passons à autre chose. Renversement radical du coup : pour contrecarrer mes cauchemars en multicolore, un monochrome de Klein, et pour soigner cette obsession marilynesque, prenons des formes vides :

People begin to fly, Yves Klein 1961

Alors adieu Marilyn, bonjour les Yvettes et on retourne au boulot !

6 commentaires:

  1. T'as raison, c'est pas une blonde clonée qui va t'impressionner ! Bon courage avec les Yvettes.

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  2. C'est quand même fou qu'elles soient introuvables les clones de Marilyn!

    Quant aux Yvettes elles me font penser aux demoiselles des génériques de James Bond ^^

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  3. Berthe > Tout à fait ! Non mais.

    Sabbio > Oui c'est dingue. Dans un accès de folie, j'ai même imaginé qu'elles n'avaient jamais existé et que c'était le fruit d'une conspiration capitaliste tentant d'imposer à nos subconscients une image pop des trente glorieuses... enfin un truc du genre quoi ^^'

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  4. c'est fou ça que tu n'es rien trouvé… on nous aurai menti ? comme le soit disant voyage qui soit disant n'aurai pas eu lieu sur la lune mais tourné en studio… quelle enquête de fou pour trouvé les marylines ! ça ne fait pas parti d'une collection privé ?

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  5. Ah oui, cette histoire de l'alunissage, encore plein de questions... peut-être Alice que ce n'était pas un accès de folie mais un éclair de lucidité ;) (lol)

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  6. Moi je suis sûre que c'est un riche capitaliste qui les garde bien au chaud dans son salon !

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